Par: Comptabilité 16-10-2013
Le saviez-vous, l’empathie devient une compétence « managériale » très prisée.
Il nous fallait être, exigence, puis exemplaire, puis « associé, distant et méta », maintenant il nous faut être empathique
On savait jusque-là que l’empathie (souffrance de ce qui est éprouvé, en grec) désigne la "compréhension des sentiments et des émotions d'un autre". En langage courant, ce phénomène est souvent traduit par l'expression « se mettre à la place de » l'autre. Ne confondez pas l’empathie avec la compassion
Ca n'a rien à voir, pour comprendre l’empathie prenons l’exemple du lion et de la gazelle....
Ces petites explications d’ordre général étant faites, il paraitrait que maintenant l’empathie est une vraie compétence professionnelle qui produit des résultats concrets et mesurables.
L’empathie, moteur de la confiance, ressort de l’engagement
Selon le « Center for Creative Leadership » (organisme de développement du leadership, parmi les 10 meilleurs, selon le Financial Times) la manifestation d’empathie se traduit par des performances supérieures au travail.
C’est donc une des compétences comportementales clés, malheureusement c’est aussi celle qui fait le plus défaut aux dirigeants de la génération actuelle et future... probablement.
Je veux devenir empathique, oui, oui, oui
Il suffit de suivre les conseils suivants :
Empathie et manipulation
Ne vous forcez pas à être empathique, ça s'appelle de la manipulation et ça finit par se voir ! Si vous n’avez pas envie d’être empathique, c'est que la défiance vis-à-vis des autres l'emporte. Pour combattre cette attitude,
Vous comprendrez qu'il n'y a pas de vérité unique et universelle et que des éclairages différents permettent la mise en relief de ce tout si complexe, même s'ils rendent difficiles l'aboutissement de "LA" solution.
Martine Lachat-Brailly pour Kaciléo
Sources : HR Perspectives